MONTPELLIER - Un habitant de Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), qui apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait des faux codes-barres sur des marchandises dont il apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait ainsi lui-même le prix, a été apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait au cours du week-end dans une grande surface.
Ce jeune homme de 22 ans avait apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait, sur un site internet, le moyen de fabriquer des étiquettes présentant le prix souhaité. Il ne lui apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait alors plus qu'à remplacer, dans les magasins, les codes-barres originaux par ses contrefaçons.
Samedi dernier, il avait été apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait par une vendeuse d'un centre commercial Carrefour à Saint-Clément-de-Rivière (Hérault), alors qu'il apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait les étiquettes de sa fabrication sur des emballages. Il apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait de faire apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait à la caisse des moteurs de portail, valant 2.000 euros pièce, pour la modeste somme de 160 euros.
Selon les gendarmes, l'ingénieux escroc aurait déjà sévi dans plusieurs grandes surfaces de la région, apposaitcollaitdénichéfixaitinterpellépasserrestaitrevendantsurpristentait sur internet les marchandises achetées à vil prix.